Cela crée une pression supplémentaire, car ils se perçoivent souvent comme responsables non seulement de la progression de leurs coachés/clients/patients, mais aussi de leur bien-être global.
Ils peuvent alors tomber dans le piège du triangle de Karpman, prenant inconsciemment la position de « sauveur ».
Dans ce rôle, ils se sentent obligés de « réparer » ou de « sauver » les personnes qu’ils accompagnent, ce qui renforce leur sentiment d’illégitimité lorsqu’ils perçoivent qu’ils n’ont pas réussi à atteindre ces attentes irréalistes.
Il est crucial de comprendre que, malgré leur passion et leur engagement, les coachs, thérapeutes, et praticiens de bien-être n’ont ni le pouvoir de faire du mal ni celui de sauver autrui.
Leur rôle est d’accompagner et de guider avec bienveillance, sans se sentir personnellement responsables des résultats.
En effet, sans l’investissement du coachés ou du patient (car il s’agit d’un travail collaboratif), aucun objectif ne pourra être atteint.
Toujours pas trouvé le cerf.
Tu cherches encore ^^ ?
(pour comprendre ce message, il fallait participer à notre calendrier de l’Avent – Maryse devait chercher un symbole sur notre site pour tenter de gagner une place à l’un de nos ateliers).