« Trouver un sens à sa vie alors que tout autour semble n’en avoir aucun. »
Dans un monde où l’absurdité semble régner en maître, où les crises économiques et sociales dessinent les contours d’une époque déshumanisée, il est facile de sombrer dans le désespoir et de perdre toute motivation au changement et à l’action.
La question « A quoi bon ? » semble tourner inlassablement dans nos têtes.
A quoi bon ?
« À quoi bon ? » se murmure dans l’écho de nos pensées alors que nous assistons à la dégradation de notre planète.
« À quoi bon ? » se demande-t-on face à l’injustice sociale, aux conditions de vie inhumaines, aux inégalités, aux atrocités du quotidien.
« À quoi bon ? » résonne dans les cœurs de ceux qui luttent contre les moulins à vent de la bureaucratie, cherchant à être utiles et efficaces pour leur communauté ou dans leur travail, mais se heurtant à des murs d’indifférence et de résistance.
« À quoi bon ? » c’est aussi le cri des entrepreneurs, qui, malgré leur passion, leur volonté et leur engagement, se retrouvent souvent noyés par les charges et étouffés par un manque de ressources et de soutien.
Et que dire de l’engagement politique ? Là où le cynisme règne, « À quoi bon ? » est la question posée par ceux qui ont perdu foi en la capacité des “leaders” à générer un changement positif, voyant les promesses électorales se dissiper comme neige au soleil.
Ce sentiment d’impuissance se propage également dans les sphères plus intimes de nos vies. « À quoi bon ? » se demandent ceux qui aspirent à des relations plus profondes, bénéfiques et sincères à l’ère des connexions digitales superficielles et froides, où l’art de la “vraie communication” semble être un reliquat d’un passé révolu.
« À quoi bon ? » interroge également le domaine de la santé, où malgré les avancées technologiques et médicales, l’accès aux soins reste un défi insurmontable pour de trop nombreuses personnes.
Face à des systèmes de santé surchargés, à du personnel soignant lessivé et à la montée des maladies chroniques exacerbées par le stress et le mode de vie moderne, cette question souligne le désarroi face à une quête de bien-être souvent perçue comme vaine.
Mais aussi, dans l’assiette, « À quoi bon ? » se fait l’écho des préoccupations environnementales et éthiques liées à notre alimentation. Confrontés à l’industrialisation massive de l’agroalimentaire, au déclin de la biodiversité, aux traitements honteux des animaux et aux scandales alimentaires répétés, beaucoup se demandent si choisir consciemment ce que l’on mange peut réellement contribuer à un changement global ou si ces efforts sont simplement engloutis par l’appétit insatiable du capitalisme.
Dans les écoles, « À quoi bon ? » résonne dans les salles de classe où enseignants et élèves se débattent avec des programmes obsolètes, à des milliards d’années-lumière de la réalité de terrain, qui peinent à préparer les jeunes à un avenir incertain.
Face à une éducation qui semble souvent plus axée sur le remplissage de cases que sur l’épanouissement personnel et l’apprentissage, cette question soulève des doutes quant à la capacité du système éducatif à inspirer et à mobiliser les générations futures.
C’est un constat déplorable, certes, mais d’une vérité criante, illustrant la profondeur de notre quête collective de sens de la vie. Ce panorama affligeant brosse un portrait universel de la condition humaine dans le monde actuel.
Cette question « A quoi bon ? » retentit comme un leitmotiv, révélant un sentiment de désillusion partagé par tous, indépendamment de l’âge, du sexe, de la classe sociale, de la culture, du lieu de vie…
Dans chaque aspect de notre vie, ce questionnement reflète un sentiment d’aliénation et de désenchantement, une lutte pour trouver une étincelle d’espoir dans un paysage souvent dénué de repères clairs et d’inspiration.
La fin du (d’un) monde ?
Cette époque, avec ses défis et ses incertitudes, semble être le prélude d’un changement radical.
C’est le reflet d’un monde qui semble, à bien des égards, toucher à sa fin sans pour autant nous donner le moindre indice de ce qui suivra.
Mais quelle fin, exactement ? Non pas l’apocalypse des films et des romans, mais plutôt la conclusion d’une ère définie par des paradigmes désormais obsolètes qui finissent tous par s’invalider un à un.
Mais il s’agit bien de la fin du monde tel que nous le connaissons !
Ce monde où le profit prime sur le bien-être et la santé, où l’interaction virtuelle remplace le réel contact humain, où l’éducation et la santé ne sont pas accessibles à tous, où la politique s’embourbe dans le marasme au lieu d’inspirer à l’action, où nous n’avons jamais été aussi connectés mais ne nous sommes jamais sentis aussi seuls.
Dans cette époque caractérisée par une abondance apparente et une accessibilité sans précédent, où les choix semblent infinis – des relations aux produits, de la nourriture aux apprentissages, des formations aux connexions, jusqu’aux marques de shampooings (je me souviens d’avoir littéralement “buggé” face à un rayon de shampoings parce que trop de choix s’offraient à moi et je ne savais pas lequel prendre. Le sentiment d’angoisse et le non sens de cette étagère débordante m’a fortement marquée.) –, nous nous trouvons paradoxalement au carrefour de l’égarement et de la confusion.
Jamais dans l’histoire, l’éventail des possibilités n’a été aussi vaste, offrant une illusion de liberté et d’autonomie jamais égalée.
Pourtant, malgré cette profusion de choix, ou peut-être justement à cause d’elle, nous n’avons jamais été aussi perdus, aussi paumés, aussi morts à l’intérieur…
Ce paradoxe de notre temps souligne une quête de sens qui semble s’évaporer au fur et à mesure que les options se multiplient, laissant un vide existentiel là où il y avait jadis des illusions de promesses d’épanouissement.
Dans cet immense univers de possibilités, trouver sa voie relève du miracle!
Vers un nouveau départ ?
Mais cette fin, bien qu’angoissante et pessimiste à souhait, peut être vue aussi comme un point de départ.
Elle nous offre une toile vierge sur laquelle dessiner les prémices d’un nouveau monde, un monde où les crises actuelles deviennent les catalyseurs de changements profonds et significatifs.
La question « À quoi bon ? » bien que dérangeante et désespérante n’est pas aussi négative que l’on pourrait le penser.
Ne la prenons pas comme une fatalité ni comme une impasse car elle nous pousse à chercher beaucoup plus loin, à redéfinir nos valeurs, nos besoins, nos aspirations, nos relations, nos choix personnels et professionnels et surtout, notre place dans le monde.
Elle nous invite à envisager un futur où la solidarité, les relations saines et positives, la durabilité, l’honnêteté, la transparence, la responsabilité, la santé, le bien-être, la joie, l’amour, …, prennent le pas sur la solitude, l’individualisme, l’exploitation et le désespoir.
Cette fin du monde est une opportunité précieuse de se questionner « pour de vrai ».
Ces prises de conscience sont des tremplins qui nous offrent une possibilité de « renaître ».
C’est dans cette transition, dans cet entre-deux, que réside notre plus grande opportunité de transformation.
Sans nos masques, sans nos filtres, sans nos croyances, sans nos peurs, interrogeons-nous sur « qui voulons- nous réellement être là maintenant ? »
L’entreprenariat dans un monde en mutation ?
Il est facile de penser, surtout dans un climat global de désenchantement, que l’évocation de l’entrepreneuriat arrive, dans ce texte, comme un cheveu dans la soupe.
« Elle veut à tout prix faire sa pub », se disent certains, « Entreprenariat et coaching pyramidal de m—e » se disent d’autres (oui, on m’a déjà dit ça ^^), ou encore « Qu’est ce qu’elle va encore nous vendre comme conn—–», …
Mais avant de partir en courant, je vous invite à considérer les choses sous un autre angle.
Si le monde semble s’effondrer autour de nous, n’est-il pas préférable de se battre pour ce en quoi nous croyons ? De choisir de se « mettre bien », comme on dit, même dans le chaos (et surtout dans le chaos je dirais)?
Donc, si dans ce contexte, parler d’entrepreneuriat peut sembler, à première vue, hors sujet, hors propos, absurde, malvenu, débile, …C’est précisément dans cette période de transition profonde qu’il se révèle être une boussole essentielle, un moyen non seulement de trouver une lumière dans le chaos, mais aussi de participer activement à la création de ce « fameux nouveau monde ».
Loin d’être une simple poursuite d’autonomie financière ou de réussite individuelle, l’entrepreneuriat émerge comme une force puissante de transformation sociale et personnelle.
À une époque où les structures traditionnelles semblent s’effondrer et où l’avenir paraît incertain, entreprendre représente une démarche proactive et adulte pour façonner le monde de demain sans plus rien attendre de cet « extérieur qui part en vrille » (pour ne pas dire autre chose).
Chez B-Lenos (et oui, je place « mon “bébé” 😀 !), nous croyons réellement à la capacité de transformation que l’entreprenariat (ainsi que le coaching) peuvent apporter et au sens que cela donne à son existence (nous sommes d’ailleurs les preuves vivantes car tout ce que nous disons, transmettons,… nous l’avons, Nicolas et moi, vécu dans nos chairs et nos tripes!).
Non pas comme une “fuite en avant” et une envie de “toujours plus”, ni comme un leurre et une ultime désillusion, mais plutôt comme un outil puissant d’accomplissement de soi qui permet de partager notre vision et toucher ceux qui, comme nous, cherchent une lumière dans l’obscurité.
Un message d’espoir
Alors, OUI, le monde traverse une période tumultueuse, voire très douloureuse mais au lieu de nous laisser submerger par la peur de l’inconnu, embrassons cette incertitude comme une possibilité de réinventer notre vie, de trouver ce qui nous passionne réellement et bâtissons un avenir sur les fondations de l’amour de soi, de l’autonomie et de la réalisation de ses rêves (oui c’est possible car la VIE, la VRAIE VIE, va dans ce sens!).
Avec B-Lenos (qui n’est pas “simplement” notre entreprise mais le “mix de nos 2 coeurs passionnés”), nous avons fait de nos envies, de nos projets, de nos « visions”, une réalité et nous avons choisi d’éclairer votre chemin et de vous guider vers le succès (le succès tel que vous l’entendez vous!).
Nous voulons vous transmettre nos connaissances, nos expériences et vous donner les clés pour briller et insuffler une nouvelle vitalité dans votre vie professionnelle mais aussi personnelle (l’un ne va pas sans l’autre).
Ensemble, nous pouvons être les créateurs de notre propre vie, inspirant les autres à nous suivre dans notre quête de développement personnel.
Au-delà de la liberté individuelle, un engagement
Dans ce nouveau monde, l’entrepreneuriat transcende la quête personnelle de liberté pour devenir un véritable engagement envers le bien commun.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, créer son entreprise n’est pas égoïste et simplement pécunier!!!
Mais cela se révèle plutôt comme étant un acte de courage, un pas vers la création de solutions innovantes qui répondent non seulement au besoin d’accomplissement personnel mais qui visent également le progrès et l’amélioration du collectif.
L’entrepreneur de demain est celui qui, armé de créativité et de résilience, façonne un avenir où l’économie sert l’humanité et non l’inverse.
Il s’agit d’un engagement profond envers notre société, où chaque initiative peut devenir un levier pour surmonter les défis sociaux, environnementaux et économiques auxquels nous sommes confrontés.
La puissance de l’indépendance pour l’amour de soi
La solution, bien que complexe et longue dans sa mise en œuvre, est simple dans son essence : trouver un travail que l’on aime, créer sa propre voie, chercher en soi ce qui nous anime: rallumer NOTRE FEU SACRÉ!.
L’indépendance professionnelle offre une forme de liberté inestimable, un moyen de reprendre le contrôle sur sa vie et de redéfinir son propre succès.
Un moyen de procéder à de réels choix!
Cependant, cette quête d’autonomie va de pair avec un changement de perspective vital : cesser d’attendre quelque chose des autres, de l’état, du/de la conjoint(e), …En bref, cesser d’être un enfant dépendant qui attend qu’on le sauve !
L’autonomie et le respect de nos propres besoins sont les premiers pas vers un épanouissement personnel.
Mais aussi, il est essentiel de revoir ses relations et de s’entourer de personnes qui partagent nos valeurs et nos aspirations. Non pas celles qui nous démotivent, nous cassent, nous dépriment (la société actuelle est déjà assez forte pour ça !).
Choisir consciemment son entourage, et donc s’émanciper des situations et personnes « toxiques », c’est aussi se donner les moyens de faire de la place pour construire des relations saines et enrichissantes.
Cela fait également partie du chemin vers l’amour et la réalisation de soi (c’est même une clé essentielle!).
Le coaching psycho émotionnel : Pilier du bien-être pour renforcer les liens humains
Dans ce magma d’incertitudes, le coaching, en particulier le coaching psycho-émotionnel, prend, lui aussi, une dimension nouvelle et profonde à (re) considérer (surtout si vous faites partie de ceux qui pensent que le coaching est « bidon »).
Pour toutes les raisons citées dans cet article, cette approche, centrée sur nos besoins, nos valeurs, notre épanouissement et notre accomplissement personnel, devient primordiale aujourd’hui!
Renforcer les liens humains et cultiver le bien-être individuel s’avèrent être des démarches essentielles pour la santé globale de notre société (oui, rien que ça !).
Le coaching psycho-émotionnel, par son attention portée à l’intelligence émotionnelle et aux intrications complexes entre nos pensées, nos émotions et nos comportements, offre un espace unique de croissance et de guérison.
Dans un monde où l’isolement et la déconnexion semblent prévaloir, il propose un contrepoint vital, un lieu où l’écoute active et l’accompagnement personnalisé permettent à chaque individu de se reconnecter à lui-même et, par extension, aux autres.
Ce processus de reconnexion n’est pas anodin ; il est le fondement même d’une société plus consciente, plus adulte, plus responsable, plus authentique, PLUS HUMAINE !!!.
En aidant les individus à comprendre et apprivoiser leurs propres turbulences intérieures, leurs émotions, leurs peurs, leurs croyances, … le coaching psycho-émotionnel les arme pour faire face aux défis extérieurs avec une plus grande résilience, autonomie et ouverture.
C’est dans cette (re)naissance individuelle que réside tout le potentiel du changement du monde.
En ayant cette vision globale de l’individu, reconnaissant que le bien-être personnel est lié au bien-être collectif, cette perspective est d’autant plus pertinente aujourd’hui, où les défis mondiaux exigent de nous une capacité accrue à collaborer, à faire preuve de compassion et à agir avec conscience.
En permettant la transformation des êtres humains en des individus plus équilibrés et plus conscients, le coaching contribue directement à la création d’une société plus harmonieuse, plus saine, plus HEUREUSE!
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Un appel à l’action: Vers un monde plus conscient
Comme vous pouvez donc le comprendre, dans cette ambiance générale “bizarre”, parler de coaching et d’entrepreneuriat n’est pas seulement pertinent : c’est VITAL!
Ce sont des moyens puissants pour reconstruire le monde sur des fondations plus solides, plus justes.
Chacun peut ainsi embrasser son pouvoir créateur de changement !
Que ce soit en lançant une entreprise qui répond aux besoins de notre communauté, en se formant pour accompagner les autres dans leur développement personnel, ou simplement en choisissant de vivre et de travailler en alignement avec nos valeurs, nous contribuons à la naissance d’un monde nouveau.
Il s’agit de reconnaître que, dans ce moment de transition, nous avons tous un rôle à jouer !!!
Illuminer le chemin
La fin du monde n’est donc pas une conclusion amère, mais un commencement.
C’est l’occasion de poser des questions fondamentales sur ce que nous voulons vraiment, sur le type de société dans laquelle nous souhaitons évoluer, et surtout, se donner les moyens d’y parvenir.
C’est un moment de choix collectif et individuel, où chaque décision, chaque action, peut contribuer à modeler l’avenir.
Ainsi, cette question : «À quoi bon ? » devient « Pourquoi pas ?«
Pourquoi ne pas envisager un monde où la santé, l’éducation, l’alimentation, l’enseignement et le bien-être sont réellement au centre des préoccupations ?
Pourquoi ne pas imaginer des sociétés où la croissance est mesurée non pas en termes de PIB, mais de bonheur et de durabilité ? Pourquoi ne pas créer des communautés où les relations humaines saines et sincères et la solidarité sont au cœur de nos interactions ?
Chez B-Lenos, nous sommes engagés à éclairer le chemin vers ce nouveau monde. À travers nos formations, nos conseils, nos coachings, notre communauté,… nous aspirons à inspirer chaque individu à reconnaître sa propre lumière et à l’utiliser pour illuminer le chemin des autres.
Ensemble, nous pouvons traverser la fin d’un monde pour en construire un nouveau, un monde où « À quoi bon ? » trouve sa réponse dans chaque action consciente et chaque choix porteur de sens.
Bravo pour votre engagement face à cet dualité, cette adversité. Ce monde le cul entre deux chaises est poussé à basculer vers des valeurs plus humaines. A force d’analyser, de sur analyser, l’amour a perdu sa place dans notre société alors qu’elle est notre essence même. Redonnons lui ses lettres de noblesse pour que les êtres humains aillent mieux et vivent ensemble dans l’amour et l’harmonie. Reste à faire confiance sans avoir de preuve aucune de ce que sera l’après.
Merci beaucoup pour ton message et je compte sur toi aussi pour redorer le blason de l’entrepreneuriat et du coaching (et j’ai une entière confiance en toi et en tes magnifiques projets). Et oui, croire avant de voir ^^
Mais quel soulagement et bonheur de vous lire : carrément et complètement d’accord ! Créons un égrégore de créativité et d’épanouissement personnel pour contribuer à semer des graines solides dans un monde respectant enfin notre planète et son vivant ! Bravo pour cet article et de mettre de la lumière sur notre chemin 😉
Merci beaucoup Agnès pour ce gentil message et je suis heureuse de voir que ça te parle 😉 Tu as, toi aussi, de jolies choses à faire pour la planète et le vivant 😉 Hâte de te voir 🙂
Quel article ! Une vraie prise de position qui casse avec tout ce que l’on peut observer dans le monde actuel. Ça fait du bien de lire ça et ça confirme mon engagement sur cette voie. Merci à la team B-lénos pour votre exemple, votre amitié et la beauté que vous emmenez dans ce monde.
Toujours un plaisir de te lire Fanny ! Merci <3
Merci beaucoup ^^ 🥰🥰🥰